Collection Belle-Mère. Chambre D’Étudiant (1/1)

• Si tu veux que l’on vive ensemble et que nous puissions dire à mes parents que nous avons décidé de vivre notre vie amoureuse, il faudra bien que ma mère l’apprenne.
• Oui, je t’aime, mais commencer notre vie par une tromperie envers eux me met mal à l’aise, Sabrina.
• Ça fait un mois que depuis le début des vacances nous couchons ensemble.
Tu sembles avoir des sentiments pour moi Carolina, j’ai même eu le même coup de foudre pour toi me montrant l’homosexualité qu’il y avait en moi.
Toute l’année à la fac, je me demandais pourquoi chaque fois que je te croisais j’avais l’impression de voir mon miroir.
Or quand sur la plage, je t’ai vu en maillot, tes seins m’ont sauté à la figure et j’ai su que j’avais envie de les déchirer.
• Ça été similaire pour moi, à la différence, c’est que j’étais déjà lesbienne.
Dès mon plus jeune âge, je savais que j’étais une gouine, même si je refuse ce terme péjoratif.
• Alors pourquoi l’emploi-tu ?
• Car, c’est ainsi que derrière notre dos, quand nous nous promènerons dans les rues de Montpellier main dans la main, les gens, nous désignerons.
• Alors si c’est ça, je suis fière d’être appelée ta gouine mon amour.

Comme je l’ai dit notre histoire à commencer à la fac de droit ou toutes les deux avec Sabrina nous sommes inscrites depuis l’an passé.
Elle veut devenir juge et moi avocate.
Les deux bouts de la chaîne pénale.
Parmi nos palabres, la nuit dans la chambre que je veux qu’elle quitte pour venir habiter chez loi, nous évoquons notre avenir entre deux coups de langue sur nos chattes assoiffées de luxure.
Carolina a une chambre chez une mémé où nous nous trouvons en ce moment.
Chez nous, nous avons une chambre que mes parents louaient à Lilly future gestionnaire en patrimoine.
Je sais qu’elle vient de donner son compte ayant trouvé l’homme de sa vie.
Maman cherche une remplaçante.
Une femme, car elle veut que j’évite les promiscuités.


Elle protège son hirondelle des coureurs de dot et moi je suis bien pourvu.

• Bon appelle là, on verra bien.

J’appelle sur mon portable et je mets le haut-parleur.

• Tu me promets que c’est une jeune fille bien.
Pas d’homme à la maison !

Carolina me caresse la chatte, je suis blonde comme maman.

• Tu connais l’éducation stricte que j’ai eue chez les sœurs de la charité et que de peu, j’ai failli prendre le voile.
Heureusement, mes parents m’ont fait rencontrer ton père et tu es là mon ange.
• Alors cette chambre, ma copine peut emménager, dans deux jours, elle est à la rue.
• Pourquoi ?

Alors que Carolina s’est penchée pour que sa langue vienne traîner dans mon vagin qui mouille intensément, je dois inventer une histoire avec du mal à me concentrer.
Je dois être persuasive, car maman gobe tous.

• Arrête !
• À qui dis-tu arrêtes, Carolina ?
• Je suis au parc assise sur un banc et un chien veut à toute force se masturber sur ma jambe.
• Les chiens, ils sont comme certains hommes prêts à tout pour satisfaire leurs instincts sexuels.
Protège-toi d’eux ma fille jusqu’à ce que tu trouves le bon.

La langue de mon amie est à deux doigts de me faire jouir.
J’en prends prétexte.

• Alors cette chambre, je peux aller lui dire que c’est bon au même prix que tu la louais à Lilly !
• Tu es bien pressé, depuis un certain temps tu découches, prends-tu ta pilule ?
• Maman, j’ai terminé d’être une petite fille.
• C’est bien là le problème ma chérie !

Après la chatte, c’est mon lobe d’oreille et ses mains sur mes seins que Carolina s’en prend.

• J’avais un rendez-vous avec une maman pour sa fille qui veut faire médecine.
Si tu me dis qu’elle est une jeune fille posée, je vais lui dire que j’ai déjà loué.
• Merci maman, tu verras tout iras bien, elle pourra m’aider dans mes devoirs, elle est meilleure que moi.


Elle recroche.

• Ah ! Ah ! Ah !

Ça c’est quand je jouis à deux doigts de me faire prendre par maman.
Il faut dire que Carolina m’a placé deux doigts là où ça me fait du bien.
Nous roulons sur le lit tous le reste de la soirée, alors qu’il fait beau nous restons à nous aimer.

• Bonjours Carolina, tu es une très belle fille, Sabrina montre lui sa chambre.
• Merci madame, de me louer cette chambre ?
• Pas tant de madame, appelle-moi Jade, je te dirais Carolina.

Les deux premiers jours se passent bien, rapidement mon amie semble faire partie de la famille.
Papa semble se désintéresser de cette jolie fille.
Seul son journal de bourse l’intéresse.
Il faut dire que c’est un investisseur boursier et qu’à ce titre, il gagne assez pour nous donner une vie de rêve dans le sud de la France.

• Ma chérie, tu m’as donné soif, attends, je vais jusqu’à la cuisine.
J’ai oublié ma bouteille d’eau et la nuit, je bois, ça évite les ronflements.
• Évite de réveiller mes parents.
• Soit sans crainte, je reviens vite.

Je suis dans la cuisine, la lune me suffit à me diriger.
Je vais au frigo et je récupère une bouteille d’eau.
Je me sens saisi à la hauteur des seins.

• Carolina, c’est moi Jade.
• Jade, lâche-moi.
• Fais-moi croire que des bras de femmes autour de toi, c’est la première fois.
Avec mon expérience, je sais reconnaitre les lesbiennes.
Viens dans ta chambre, ma fille pourrait avoir envie de venir boire comme nous.

Piégée, je suis piégée, nous sommes piégées avec Sabrina.
Jade va venir et Jade va voir sa fille couchée sur mon lit, la chatte exposée comme je l’ai laissé quand je suis partie.
Nous traversons le couloir ma chambre étant à l’opposé de leur appartement et de la cuisine.
Elle pousse la porte, la pièce est vide, Sabrina serait-elle retournée vers sa chambre.

Ouf, un sursit.
Jade s’assoir sur mon lit et me fait venir entre ses jambes.
Son peignoir me fait voir sa poitrine semblant assez ferme pour sa quarantaine.
Ou peut-être Sabrina, quand je repense au parcours, fait nous aurions dû la croiser.

• Tu vois, je connais très bien les jeunes filles comme toi.
Au premier regard, j’ai su que ton truc, c’était les femmes.
Dis-moi que je me trompe !
• Non, tu as raison, j’aime les femmes, rien que les femmes et il semble que toi aussi explique-moi !
• Lorsque j’étais jeune, j’ai aimé une amie que j’ai toujours d’ailleurs.
Suzon.
Vous, les jeunes, vous avez de la chance, vous pouvez même vous marier si vous le voulez.
Sabrina te le dira, j’avais des parents très stricts et mon père m’aurait fichu dehors si je lui avais avoué mon homosexualité.
Et voilà comment on se retrouve avec un mari et une fille que j’adore part ailleurs.
Viens dans mes bras.
• Jade, je te remercie de la confiance que tu me fais en m’avouant ton homosexualité.
Mon cœur est pris, d’un amour fou et unique depuis que nous nous le sommes dit réciproquement.

Comme un diable sortant de sa boîte Sabrina sort du placard où elle s’était réfugiée en nous entendant arriver.

• Maman, cet amour dont te parle Carolina, c’est moi Sabrina ta fille, la prunelle de tes yeux !

Elle se réfugie dans mes bras où je la reçois.

• Mon Dieu, j’ai failli faire l’erreur de ma vie en ayant des rapports avec toi Carolina.
Pourquoi tous ces mystères ma chérie, tu me prends pour une femme sans cœur ?
• Maintenant que je sais que toi aussi, tu es amoureuse des femmes, je comprends mieux certains moments de notre vie passée.
• Emmène Carolina dans ta chambre et comme on dit vivez heureuse en pratiquant plein de PMA pour que j’aie des petits s.
• Merci maman, je t’aime et Carolina aussi j’en suis sûr.

Voilà, nous qui avions peur de le dire à ma maman, nous venons de nous dire oui.

Où en est la famille.
J’ai emménagé dans l’appartement ou avec Carolina nous faisons tous ce que deux femmes savent se faire dans un lit ou hors d’un lit.
Suzon était mon témoin et a quitté son mari.
Avec maman elles ont emménagé dans la chambre que Carolina a libérée.
Elles ont décidé de vivre leur amour au grand jour.
Quant à papa, c’est toujours le même.
Il a décidé de laisser une trace financière à ses petits-s en leur constituant un solide portefeuille d’actions à chacun.

Vous m’excusez, j’ai rendez-vous avec l’amour de ma vie.
Je l’emmène au restaurant avec dans mon sac un stylo de grossesse avec deux barres.
Pour sa part, cette idée de restaurant l’a enchanté, car elle aussi à une grande nouvelle à m’annoncer.

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